24 juin 2008
180
je décalque ta peau
pour y lire chaque instant
le fraicheur de son eau
et de ses pores le chant
qui nous entrainent loin
d'un mesquin quotidien
je l'effleure des heures
la caresse la presse
m'en abreuve m'en nourrit
m'en recouvre le corps
pour me sentir en toi
en te sentant en joie
plus d'espoir plus d'effroi
que de l'ici ta main tenant
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